Financement - Page 3
Faire appel à l’épargne des particuliers pour obtenir les fonds nécessaires au développement son activité, c’est désormais possible grâce aux plateformes de crowdlending.
L’entreprise repérée est-elle aussi intéressante qu’elle est attirante ? Le moment de s’engager est aussi celui où le repreneur potentiel va pouvoir examiner plus en détail la réalité économique de l’entreprise.
Envisagée dès les premiers contacts, la négociation permettra de déboucher ou non sur la prise d’engagements de part et d’autre. Une démarche à suivre avec soin pour partir sur de bonnes bases.
Pour reprendre une entreprise, l’acheteur dispose de plusieurs moyens de financement, au-delà de son apport personnel. Pistes et conseils pour réussir cette étape déterminante.
Pour préparer au mieux son projet de reprise, le candidat doit établir un plan pour définir les meilleurs choix stratégiques et opérationnels. Zoom sur les différents points à analyser.
Une fois le projet de reprise bien défini, le candidat doit évaluer la potentielle entreprise à reprendre. Une démarche qui doit prendre en compte plusieurs éléments. Conseils sur la marche à suivre.
Des millions promis à la finance verte, de nouvelles politiques d’investissement, des projets de centrales au charbon remis en question…
Afin d’obtenir des financements une entreprise propriétaire peut opter pour la solution du lease-back. L’opération n’est cependant pas toujours pertinente. Décryptage
S’impliquer dans des démarches de développement durable ou de protection de l’environnement présente aujourd’hui bien des avantages, comme l’opportunité de réaliser des économies ou de rendre ses produits ou ses services plus performants.
Paramétrer au mieux son endettement permet d’en tirer le meilleur parti en limitant les risques pour l’entreprise.
Il existe plusieurs mesures en faveur des chômeurs repreneurs ou créateurs d’entreprise.
Si les entreprises peuvent recourir à la fiducie pour la sortie d’actifs, elle peut également être utilisée comme garantie pour obtenir des financements. Un procédé qui a l’avantage de rassurer grandement les créanciers.
Bonne nouvelle pour les entreprises : un décret du 28 octobre dernier assouplit les règles de recours au crowdfunding. Un coup de pouce pour booster le soutien à des projets ambitieux qui se traduit par une augmentation des plafonds de financement et la création de nouveaux outils de prêt entre entreprises.
Décider de faire entrer un ou des associés comme investisseur au capital de sa société est une décision parfois difficile. Qu’il s’agisse de financer un nouveau plan de développement, d’accompagner la croissance de l’entreprise, de faire face à des difficultés de trésorerie temporaires…
Avec la politique de taux négatifs pratiquée par l’Europe ou le Japon, les grands de ce monde sont payés pour emprunter.
Faire appel au financement participatif pour trouver des fonds ? C’est une bonne idée qui se prépare plusieurs mois en amont… avec l’aide d’un expert.
Pour une entreprise, travailler à l’international peut être un facteur de développement rapide, mais cela comporte aussi des risques liés à l’éloignement des intervenants et à une moins bonne connaissance des cultures et des habitudes commerciales. Le crédit documentaire ou « crédoc » permet de limiter ces risques.
Jusqu’à récemment, les prêts entre entreprises pouvaient intervenir lorsque des opérations de trésorerie étaient effectuées entre sociétés du même groupe. Portant une fois de plus atteinte au monopole bancaire, la « Loi Macron » permet à certaines entreprises d’emprunter de l’argent auprès d’autres entreprises qui leur sont économiquement liées.
Payer des cotisations sur ses dividendes alors qu’on aurait pu les éviter, essuyer un refus du banquier ou hériter d’une plus-value mécaniquement plus importante et donc potentiellement plus taxée sont autant de conséquences possibles mais pas toujours anticipées du choix réalisé pour fixer le montant de son capital social, à la création d’une société.
Difficile d’estimer la valeur de son entreprise quand on s’apprête à lever des fonds. Alors que plusieurs méthodes peuvent être utilisées pour une entreprise mature, dans les phases de levée de fonds, ces techniques, basées notamment sur les actifs de la société, sont inopérantes dans le cas d’une start-up.